Un contrôle parental : pourquoi ?


Un contrôle parental : pourquoi ?


Contrôle parental
Gain de temps, simplification de la vie quotidienne, accès à l’information, ouverture sur le monde, lien social…

Internet a modifié notre environnement et nos habitudes à un tel point que nous vient fréquemment à l’esprit la question : « mais comment faisait-on avant ? ».
Malheureusement, l’internet permet aussi aux mineurs d’être exposés à des contenus préjudiciables, inappropriés à leur âge, voire même illicites et dangereux. C’est pourquoi il est essentiel de les en préserver.
Il ne sert à rien d’interdire à ses enfants d’aller sur l’internet. Au-delà du fait de les exclure d’un outil incontournable, cela ne ferait que les inciter à se connecter quand même ailleurs (chez des camarades, dans des cybercafés…). C’est pourquoi la prévention par le dialogue est primordiale.


Quant aux solutions de contrôle parental, elles constituent un premier niveau de protection indispensable. Là encore, le dialogue est essentiel. Les parents doivent prendre le temps d’expliquer à leurs enfants l’utilité de ce type d’outil et son fonctionnement.
 


Filtre GRATUIT avec votre fournisseur d’accès :
Pour vous aider : http://www.e-enfance.org/

Pour chaque fournisseur et chaque console de jeu
Assitance filtre : http://www.e-enfance.org/assistance.html
Ou : http://www.commentcamarche.net/faq/6441-installer-un-logiciel-de-controle-parental-sur-l-ordinateur

Conseils pour réussir sa rentrée en 6eme

 

Quelques conseils pour aider votre enfant à réussir sa rentrée en 6ème :

 

Le collège, un nouveau rythme de vie et de travail

Il ne faut pas sous-estimer le cap que représente l’entrée au collège. Vos enfants doivent gérer beaucoup de choses en même temps à ce moment-là : des bouleversements de la puberté au changement de rythme et de manière de travailler.

Les difficultés qu’un élève peut rencontrer dans cette classe ne doivent pas être sous-estimées ; La 6ème est donc réellement une classe pivot, l’assise indispensable à la poursuite des études secondaires. L’apparition de nouvelles disciplines marque bien la transition qui s’opère sur le long chemin du savoir et de l’autonomie.

 

Un rythme de vie plus fatigant

L’entrée en 6e représente un réel bouleversement dans le rythme de vie de votre enfant. Il faut en avoir conscience pour l’accompagner dans cette nouvelle étape de sa scolarité qui n’est pas seulement le seuil symbolique de l’entrée dans l’adolescence et le début d’une certaine autonomie.

 

Une autre organisation

En 6e, la manière de travailler change de celle de l’école primaire où l’enseignant était unique, la progression est assez linéaire et les évaluations relativement peu fréquentes.

L’enfant doit s’adapter aux différentes méthodes de travail de ses nombreux professeurs (Environ une dizaine), apprendre à vivre avec un emploi du temps qui peut varier, passer des devoirs sur table toutes les semaines et tenir le rythme des devoirs qui peuvent lui demander parfois plus d’une heure par jour, après une journée de cours.

 

La clé de la réussite est sans doute de veiller à ce que son enfant adopte un rythme régulier, tant au niveau du travail que du coucher.

Apprendre requiert application et régularité, mais apprendre à travailler demande du temps et un œil adulte attentif. Le temps qui passe est encore à cet âge-là une donnée relativement abstraite, l’enfant a du mal à percevoir la nécessité d’un travail planifié.

 

L'aider à s'organiser

Le CM2 prépare très bien l’enfant à la sixième, mais il est important que les parents accompagnent leur enfant dans cette nouvelle organisation. Les premiers jours, aidez-le à faire son sac, apprenez-lui à bien utiliser son agenda, et vérifiez qu'il ait bien fait ses devoirs.

 

Le carnet de liaison :  lien essentiel entre la famille et le collège.

À consulter le plus souvent possible ! Votre enfant doit toujours l’avoir dans son cartable.

Veillez à ce que son carnet soit tenu correctement. Vous aurez à le consulter tous les soirs, y signer les informations, les éventuelles observations faites à votre enfant, y mentionner à son retour en classe les raisons de ses absences, vos demandes de rendez-vous, …

 

S'impliquer dans la vie scolaire

Prenez régulièrement rendez-vous avec les professeurs pour rester informé des progrès de votre enfant ou de ses difficultés. Plusieurs interlocuteurs sont là pour répondre à vos questions : le professeur principal, le conseiller principal d'éducation ou bien un enseignant de l'équipe pédagogique.

 

Un emploi du temps à s’approprier

Dès le début de l'année, affichez un exemplaire de l'emploi du temps de votre enfant dans sa chambre, votre cuisine ou dans votre bureau… Un dernier coup d’œil sur l’emploi du temps, avant de partir le matin, permettra de ne pas oublier le sac de sport ou le matériel de dessin.

     Sans tout faire à sa place, soyez à ses côtés pour l’épauler dans cette nouvelle organisation. Petit à petit, il trouvera ses marques, mais il peut avoir besoin de conseils au début. Il faut que les parents gardent un certain contrôle, et que l’enfant sache que ses parents sont derrière lui en cas de problème.

      Lui laisser de la marge pour qu’il gagne en autonomie, tout en étant présent pour l’aider – et contrôler d’un œil discret son mode d’organisation : tel est le bon compromis à trouver.

 

Chaque soir, installez-vous à côté de lui et lisez son emploi du temps. Pour chaque matière prévue le lendemain, demandez-lui de quoi le dernier cours a traité et posez-lui quelques questions pour vérifier qu’il a compris.

Aidez-le à s’organiser. Pour bien répartir ses devoirs et leçons : vérifiez avec lui son agenda tous les soirs, aidez-le à établir des priorités pour son travail du soir et de la semaine afin qu’il n’attende pas la veille pour faire son travail.

Pour apprendre efficacement : veillez à ce qu’il travaille dans une atmosphère calme, S’il ne l’a pas déjà fait, faites-lui revoir la leçon pour qu’il se la remémore.

Une fois ce tour d’horizon accompli, l’enfant met le matériel correspondant à cette discipline (manuel, cahier, calculatrice, équerre) dans son cartable et passe à la matière suivante.

 

À raison de cinq minutes par matière, l’opération ne durera au final qu’une vingtaine de minutes et votre enfant se sera remis ses leçons en tête. Il faut qu’il comprenne que c’est une méthode de travail basique mais efficace, et un très bon pli à prendre pour toute sa scolarité.

 

Prendre de l’avance

En général, les enfants rechignent à s’avancer dans leurs devoirs, car ils trouvent que ceux pour le lendemain ont déjà suffisamment empiété sur leur soirée !

C’est une habitude que certains enseignants de CM2 commencent à donner à leurs élèves, mais en sixième cela devient obligatoire si l’on ne veut pas se laisser déborder.

 

Il faut insister et leur montrer à chaque fois le bénéfice de cette anticipation : une poésie, dont on aura étudié une ou deux strophes par soir pendant plusieurs jours, s’apprend plus facilement qu’en une fois.

En s’avançant, on peut dégager du temps un autre soir ou durant le week-end pour faire autre chose. Ici, la maxime : “Ne pas reporter au lendemain ce que l’on peut faire le jour même” s’applique admirablement ! Car si certains enseignants donnent les devoirs d’une semaine sur l’autre, et permettent ainsi aux élèves d’avoir de la visibilité sur leur planning, d’autres continuent de donner des devoirs pour le lendemain…

 

Revoir ses leçons régulièrement

L’autre grand changement, au collège, ce sont les leçons à apprendre systématiquement, sans que l’enseignant le fasse préciser dans le cahier de textes. En arrivant en sixième, votre enfant va devoir s’habituer à revoir ses cours automatiquement, sans qu’on le lui demande, soit à la fin de chaque journée, soit la veille du prochain cours. Il faut impérativement l’aider à mettre en place cet usage. Cela lui permet, d’une part, d’intégrer les connaissances au fur et à mesure et d’éviter le bachotage la veille des contrôles, et, d’autre part, de repérer les points qu’il n’a pas compris. Votre enfant pourra ainsi poser des questions à son professeur au début du cours suivant.

 

Profiter de l’aide aux devoirs

Mais, rassurons-nous, la question des devoirs n’est pas de notre seul ressort : des plages horaires d’aide aux devoirs sont souvent prévues dans l’emploi du temps hebdomadaire, en plus des heures d’étude éventuelles. Enseignants, surveillants et éducateurs sont alors également disponibles pour aider vos enfants à travailler.

LE GUIDE PRATIQUE « LA FAMILLE TOUT-éCRAN »


LE GUIDE PRATIQUE « LA FAMILLE TOUT-ÉCRAN »

En 2013, la loi du 8 juillet pour la refondation de l’École de la République inscrit officiellement l’éducation aux médias et à l’information (EMI) dans les programmes scolaires. Suite aux attentats qui endeuillent la France, l’EMI devient une exigence républicaine au cœur du Parcours citoyen, un enjeu éducatif et sociétal incontournable dans un environnement où le numérique est omniprésent. Dans un monde globalisé et complexifié, la définition et la compréhension de la source de l’information constituent une priorité pour déjouer les tentatives de manipulation et de désinformation.
Les enjeux sociétaux de l’EMI dépassent les murs de l’école et doivent mobiliser tous les acteurs pour renforcer le continuum entre temps scolaire et hors temps scolaire. Ce guide est le produit de cette mobilisation. Il est né au sein d’un groupe de travail dédié aux pratiques informationnelles des jeunes, composé de membres du Conseil d’orientation et de perfectionnement du CLEMI qui représentent le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de la Culture, France Télévisions, Radio France, le CSA, CNRS Images, Ceméa, la Ligue de l’enseignement, Parents 3.0, Jets d’encre et l’Icem-Pédagogie Freinet.


Télécharger le guide pratique « la famille Tout-Ecran » cliquer ici et là
https://www.clemi.fr/fileadmin/user_upload/espace_familles/guide_emi_la_famille_tout_ecran.pdf
 

«